Paris

La Nuit Blanche est une affichage des projets artistiques, une fête d’art et de la culture de 19 heures à 7 heures sur le premier samedi d’octobre depuis douze ans.

Le concept a diffusé a des autres pays, dix-sept spécifiquement mais dans la France, c’est dans le Lyon, la Paris, Saint-Louis, la Villette, les Vincennes. C’est la célébration de l’intersection entre la science, la technologie et l’art.

Chaque année, il y a un thème choisi par l’organisation de nuit blanche, explore par des artistes différentes. Pendant la dernière année, le thème était les constellations. Alors, il y avait une constellation des invalides, constellation de l’ile Saint-Louis et la constellation de la Porte dorée.

La Nuit Blanche est un grand événement ou exhibition d’art qui se passe à travers la ville de Paris, où les espèces qui sont normalement fermé au public sont ouvert pendant la nuit, et ils sont vraiment transformé par les artistes qui sont nationaux et internationaux.

Gaël Charbau etait le directeur artistique de la nuit blanche. Il a fait le changement ou les « parcours artistiques » se sont appells « constellations ». Il y avait quatre parcours de constellations : Constellation des Invalides, de l’Île Saint-Louis, de la Villette, de la Porte dorée.

Pendant ma visite, j’ai assisté la Constellation des Invalides pour ressentir: Yoga et Voga par Axelle Roucou, « La premiere Nuit du temps »  par Zad Moultaka, et « La soleil » par Félicie D’Estienne d’Orves et Franck Vigroux.

La semaine dernière, Amandine Gay a visité Davidson College et a facilité un dialogue sur le racisme et le sexisme, particulièrement avec son documentaire Ouvrir La Voix. Elle a recueilli des événements sur le campus, comme une opportunité pour bavarder au Hub avec elle et Zun Lee, un atelier « Récupérant le récit » pour les étudiants de couleur, et bien sûr la projection de son film. Mais, elle a rendu une visite spéciale à notre classe de Française 369, où nous pourrions poser des questions dans une cadre plus personnelle.

Elle a bien répondu à nos questions avec des idées très instructives, et pour moi la partie la plus intéressants était les nouvelles et ses aperçus sur la controverse en France maintenant de #LigueduLOL. Avant notre discussion, je n’ai entendu rien sur #LigueduLOL, mais elle l’a expliqué bien. Sur Facebook, il y avait un groupe privé qui se sont appelé Ligue du LOL. Le groupe s’est composé des hommes qui sont les médiatiques, et ils ont partagé des messages raciste, sexiste, et homophobe. De plus, ils ont harcelé les femmes et minorités sur l’internet. Il y a quelques années le groupe a ferme, mais ils ont continué leur cyberintimidation. Ce cas souligne l’intimidation des groupes certains sur l’internet, et la haine qui peut s’infiltrer dans tous aspects de la vie. L’hashtag s’est répandu pour sensibiliser ce groupe dégoutant, mais aussi pour faciliter une conversation importante surtout l’issue de la haine, la media, et les victimes de la racisme, sexisme, et homophobie.

De plus, ce cas illustre le besoin pour plus d’éducation sur ces sujets. Amandine a expliqué un autre débat sur l’enlèvement du mot « race » dans la Constitution. Elle fait le point que ce n’est pas une question d’effacer le mot de la Constitution, mais d’effacer le racisme dans la vie quotidienne, et ce problème n’est pas corrigé en enlevant un mot d’un document. Les départements comme les études africains, ou les études du genre et la sexualité, n’existe pas dans le système d’éducation française. Donc, c’est encore plus important de faciliter les conversations de ces problèmes, parce qu’il ne se passe pas dans l’école.