Dakar

Les Cars Rapides, un mode de transportation et un lieu de rencontre pour les citoyens de Dakar.

Si on voyage a Dakar, on remarquerait rapidement la grande nombre des cars rapides dans la ville. Avec la peint brillant et coloré, ces vieilles et bien utilisé buses sont très populaire parmi les habitants pauvres de la ville. Les Cars Rapides sont un mode de transportation dangereux, pas cher, et common. Ils travaillent dans un façon informel; pas de billets, pas d’un programme spécifique, juste héler la conducteur de la bus, leur dire ou vous allez, et payer les frayes. Avec un fraye de 50 – 200 CFA (Franc de l’Afrique l’Ouest), les buses sont abordable pour presque tout le monde. Ce prix est équivalent à dix – quarante cent (USD). Bien qu’il n’y ait presque pas de régulations de la sécurité, ou d’autres mandats typique, Les Cars Rapides sont encore très utilisé.

Au cours des dernières plusieurs années, le Sénégalaise gouvernement a essayé de supprimer les vieilles “cercueils roulants” comme ils sont appellent. Le gouvernement veut supprimer lentement les buses de 40 ans avec les nouveaux modèles. Malheureusement il est très difficile a supprimer toutes Les Cars Rapides, parce que les conducteurs ne sont payés que 10,000 CFA par semaine, et un nouveaux bus coute 6 million CFA. À cause de ce problème, il est un situation presque incontournable. Pas des conducteurs peut se permettre un nouveaux bus, donc ils continuer a utilisé la même. Le public et les conducteurs sont un peu attaché aux Cars Rapides, à cause de la histoire de chaque, et de la rôle culturel au Sénégal.

L’article écrite par Le Monde plongées plus loin dans les détails du changement aux nouveaux Cars Rapides au Sénégal.

Le Mbalax est un type de danse sénégalaise très célèbre. Elle est un genre de musique et aussi une style de danse. La fondation du ce genre est le sabar, qui est un type de tambour intégral pour la création de la musique et aussi du rythme utilisé avec la danse. Le genre a originé avec le group ethnique des Wolof qui est très commun au Sénégal et sa langue est maintenant une des langues plus utilisée dans la vie quotidienne des citoyens sénégalais.

Ce type de danse à l’origine a été utilisée seulement pour les cérémonies de danse, d’exorcisme, ou de lutte; il été particulièrement utilisé par les griots. Maintenant, la danse continue à être utilisé par les cérémonies traditionnelles mais il est aussi très populaire en gênéral et on peut voir la danse en toutes les scènes sociaux comme les fêtes et à la discothèque.

Le style de danse est composé de mouvements des hanches et de pieds au rythme du sabar et normalement, il est un rythme très rapide donc il peut être un peu difficile d’apprendre la danse. Il y aussi maintenant beaucoup de variations de la danse à cause de sa popularité.

Le Mbalax est maintenant propagé aux pays proches du Sénégal, spécialement en Gambie, et aussi en France. Le plus connue artiste de ce genre est Youssou N’Dour, qui a aidé le Mbalax a être plus populaire autour du monde. Le genre a ses origines dans les années 1950s mais il a été modernisé avec les temps et maintenant il y a sous-genres comme rock-mbalax et salsa-mbalax.

L’Institut franco-sénégalais Léopold Sédar Senghor est fondé à faciliter le dialogue avec les cultures étrangères « dans une démarche d’écoute, de partenariat et d’ouverture. » Il soutient la promotion de la culture française et l’apprentissage de la langue. Donc, c’est un centre qui offre beaucoup des activités comme des films, des concerts, des expositions d’art, et des autres spectacles, mais aussi il propose des cours des formations professionnalisantes et diplômantes en français. Son but est grand—il vise à soutenir l’intellectualisme français, la culture sénégalais, et les échanges artistiques internationaux.

« L’institut français contribue à renforcer le dialogue avec les cultures étrangères dans une démarche d’écoute, de partenariat et d’ouverture. »

-Le site officielle pour L’institut français

Pour illustrer ce centre plus loin, c’utile de voir des évènements qui s’est déja passés. Par exemple, pour rendre hommage à Mambety, un cinéaste sénégalais célébré, le centre reçoit un visionnage de son documentaire à son cinéma. De plus, le centre a reçu des concerts comme celui du reggae-rap, les échanges comme un nuit des idées, des spectacles de la comédie, et plus. Le centre accueille les événements comme ça plusieurs fois chaque semaine. Pour trouver son calendrier, visitez leur site web. Le prix pour ces spectacles est très bas, permettant des pauvres gens d’y assister, et sa bibliothèque est publique aussi. Donc, le public vise par ce centre est vraiment tous les gens sénégalais, riche a pauvre, et puis les artistes internationaux. De plus, c’est un bon lieu pour les touristes qui voudraient apprendre de la culture. L’institut a deux endroits en Sénégal, à Dakar et à Saint-Louis. À Dakar, il se trouve dans le sud de la ville, près la côte dans une rue bondée, spécifiquement à 3 Rue Parchappe, Dakar, Sénégal.

La Librairie Athéna est un magasin de livres à Dakar. La Librairie se trouve proche de côte de péninsule de Dakar, à la Place de Souvenir africain. La Place du Souvenir africain possède des vues incroyables avec la plage et la mer dans la distance. Cette exposition est ciblé sur la promotion de la culture sénégalaise et africaine, avec des programmes soutenir par la Ministre de la Culture Sénégalais.

La Librairie Athéna été crée par trois écrivains sénégalais: Felwine Sarr, Boubacar Boris Diop, et Nafissatou Dia Diouf. Felwine Sarr, même qu’il est écrivain, est un économiste et musicien de Sénégal qui a quarant-six ans. Son livre plus récent, Afrotopia, a eu du grand succès à Dakar grâce à ces présentations de ses livres chez la Librairie Athéna. Diop est un journaliste de Dakar. Après avoir travaillé pour la Ministère de la Culture Sénégalais, il a publié son livre le plus fameux, Murambi, qui est un livre à propos de la génocide de Rwanda. La dernière, Diouf, est une écrivaine qui a étudié en France et a reçu des prix de tout autour du monde, mais habit toujours à Dakar aujourd’hui.

Les trois ont décidé d’ouvrir ce magasin en 2013 pour exposer l’écriture africaine de tous les genres pour les touristes ou n’importe qui qui décide d’y entrer. Ils veulent vendre des livres à tout le monde: les gens sénégalais, les visiteurs des autres pays, les autres africains. La littérature n’est pas exclusivement sénégalaise, alors le magasin aspire à promouvoir toute la littérature africaine.