Le documentaire Ouvrir la voix par Amandine Gay été présenté à Davidson College le treize février 2019. Un grand groupe des étudiants l’ont assisté, et le film leur offre une opportunité de voir des vies des femmes noires qui habitent en France. J’ai vu beaucoup des étudiants là qui ne se spécialisent pas en français ou des études africana, et j’étais surpris à l’intérêt des étudiants de Davidson.
Le film était organisé dans sujets différents. Il y avais cinq ou six femmes qui ont partagé leurs histoires et expériences d’être noire et féminin en France, et elles ont parlé sur les sujets spécifiques. Un aspect de leurs vies duquel elles étaient d’accord était leurs expériences avec des autres qui veulent toucher leurs cheveux. Dans le documentaire, tous les femmes ont remarqué quand on leur demande à toucher leurs cheveux, elles se semblent comme un objet ou un animal domestique. Pour une femme en particulière, les cheveux représentent une partie de son identités qu’elle avait des difficultés d’accepter. Elle a expliqué que son acceptance et son amour pour ses cheveux développaient pendant sa vie entière et cet processus était très difficile. Donc, pour elle et tous les femmes aussi, quand une personne leur demande si on peut toucher leurs cheveux, elles sont très protectrices d’une partie de leurs identité très intime et privée. Je trouve ces expériences très intéressants parce que l’action de demander quelqu’un qui est noir.e.s à toucher leurs cheveux évoque les sentiments qui soutiens la colonisation française. Particulièrement, une femme qui s’appelait Sarah Baartman était pris par les Français pour ses membres du corps que les Français trouvait comme exotiques et fascinants. Baartman était montré dans des exhibitions de monstres en France, et cette exploitation et exotisme de Baartman et le corps noir dans le temps existent encore aujourd’hui dans les formes pas institutionnalisés mais des formes plus subtils.
Pour des gens qui ne connaissent rien de la féminité et la noirceur en France, Ouvrir la voix présente beaucoup des anecdotes et expériences positifs et négatifs de cette vie. C’est important de comprendre les vies de parisiennes qu’on ne penserait pas comme la parisienne traditionnelle. Le film a de sous-titres en anglais, donc Amandine Gay l’a créé d’être vu par tout le monde.
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