Cet article s’articule autour d’une interview du groupe Le Villejuif Underground, un groupe franco-australien qui a un impact sur la scène rock française. Ils ont un ton décalé, certains diront même bizarre, dans leur musique qui, même si elle n’est pas très populaire, attire toujours un public extrêmement loyal et international. Dans ce document, ils parlent de leurs expériences passées, par exemple de certains lieux qu’ils ont visités, comme la Chine, l’Italie et de nombreuses grandes villes. Ils ont également parlé des spectacles qu’ils ont présentés dans le passé et de ce qu’ils considèrent comme de la bonne musique.
Une grande partie de leur conversation porte sur l’usage de drogues dures et d’alcool, ce qui nous donne une bonne idée du public auquel ils sont destinés. Par exemple, « Tu rigoles? C’était trop bien hier ! – C’est parce que t’as pris du LSD, mec. Moi j’ai pris de la coke et je peux te dire que c’était nul à chier !“
Malgré cela et leur son, certes étrange, les membres du groupe rêvent d’un style de vie plus calme, pour certains près de la plage, pour d’autres à la campagne. Ceci est très intéressant car leurs commentaires ne reflètent pas du tout leur image extérieure. Ils s’annoncent comme allant à contre-courant de la société tout en fantasmant simultanément un mode de vie paisible.
Hudson says
Wow!