Après avoir regardé Ouvrir la Voix le mercredi dernier, j’ai maintenant une meilleure compréhension des types des problèmes que les femmes noires ont en France seulement à cause de sa identité. Beaucoup des sentiments sont similaires à ceux des femmes noires aux États-Unis. Mais je pense qu’il y a aussi des différences importantes à cause des différentes structures sociaux dans les deux pays.
Aux États-Unis, on apprend beaucoup sur le racisme à l’école, spécialement aux universités où il y a des départements entiers dévouée aux etudes afro-américaines, mais il n’y a pas ces types des courses en France. Amandine Gay nous a dit que beaucoup de ce qu’elle a appris sur le racisme est à grâce à lire les livres à l’extérieur de la classe, et normalement ils étaient des livres par les intellectuels américains comme W.E.B. DuBois. Il n’y a pas beaucoup d’intellectualisme sur la race et pour ça, je pense qu’il est important que le film est fait par des personnes quotidiens. Donc, quelqu’un ne doit pas être un intellectuel pour comprendre les problèmes des femmes en France.
J’aimé aussi comment Amandine Gay à utilisé des femmes des différents milieus pour la film. Les perspectives sont toutes différentes mais avec les mêmes thèmes des problèmes que toutes ont en commun. Il était intéressant d’apprendre sur les femmes qui sont nées en Afrique, quand elles n’étaient pas consciente de la couleur de leur peau de la même manière parce qu’elles étaient la majorité dans ces pays. Quelques femmes n’avaient jamais vue des personnes blanches avant d’arriver en France. Il est aussi intéressant comment les différentes identités marginalisés affectent les uns a les autres, comme le problèmes associé avec être une femme noir mais aussi pas hétérosexuelle.
Je pense qu’Amandine Gay a fait un documentaire très important pour la population de la France pour apprendre plus sur les problèmes de sa propre société. Le type de film qu’elle a choisi de faire, avec des gros plans et pas de musique a été aussi important pour le public à se concentrer sur les opinions et histoires des femmes et pas être diverti par les thèmes communs des films.
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