Au sujet de sa résidence et film, Ouvrir la Voix
Mercredi soir, je suis allée regarder le film Ouvrir la Voix de Amandine Gay à Union. Il y avait beaucoup de gens qui sont venus pour la regarder, et les gens semblaient tous engagés. Une chose que j’ai noté c’était qu’il y avait une grande apparition des hommes plus âgés et de couples ou individus qui habitent à Davidson mais n’ont pas d’affiliation explicit avec l’université. Après moi, je pense que c’est une bonne chose qu’il y avait de la diversité de l’audience, car le film montre des aperçus des vies des femmes noires qui ne sont pas visibles pour les gens qui n’identifient pas comme cela.
Le film était divisé dans des sections de questions. Pour chaque question, il y avait des réponses ou commentaires par des une des vingt-quatre femmes qui ont été interviewée. La section que j’ai trouvé la plus intéressante était à propos de la dépression. Je n’avais jamais considéré une divise entre la dépression des femmes noires ou blanches, mais les femmes qui le film avait un excédent de dire au sujet de la santé mentale. Aujourd’hui, ce n’est pas étrange d’entendre qu’un ami a une maladie mentale, mais les raisons pour lesquelles on a était diagnostiqué se varient. Ce qui ma pris par surprise c’était que les femmes disaient que leur mères ne voudraient pas que ses filles salissent la réputation de leur famille par avoir l’air faible. Pour les femmes blanches, c’est facile d’avoir du sympathie pour une maladie, mais pour les femmes noires, chaque journée est une nouvelle obstacle; si on semble être dépressive, il semble comme trop faible, et il semble comme on laisse la racisme gagner.
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