Par Nadia Baye
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La lutte sénégalaise est un sport traditionnel qui est très violent mais aussi valorisé au Sénégal. Des milliers se rassemblent pour soutenir leur lutteur favori. Jadis, la lutte était une fête rythmique après une récolte ou une pêche abondante où deux lutteurs faisaient un combat pour gagner la plus grande portion de nourritures. Cependant, dans cette époque, la lutte est professionnalisée. Alors, les bagarres ont lieu à tout moment.
Les règles de cette bagarre sont simples de comprendre mais difficile d’exécuter. Le combat se déroule dans un cercle entouré par des sacs de sable. Le but est de jeter l’autre lutteur en premier. Le premier qui met ses quatre appuis au sol, qui se couche sur le dos ou qui est éjecté hors du cercle est déclaré perdant (Au-Sénégal, 2012).
Ce sport est un parti important dans la culture de Dakar. En fait, pendant la dernière année, Chine a construit une arène de lutte dans la ville de Pikine, près de Dakar. La, plus de 20.000 personnes regardent attentivement le combat entre les deux lutteurs.
Comment est-ce que les lutteurs préparent pour le combat ?
Un groupe de femmes qui s’appelle “Baccou” font une introduction du lutteur, en chantant ses qualités avec l’intention d’intimider l’adversaire. Les deux lutteurs ont des Baccou différentes.
Après ça, il y a des marabouts qui protègent le lutteur contre un mauvais sort. Le marabout utilise des herbes et les formules magiques. La lutte sénégalaise est l’intersection entre le sport et le mysticisme et aussi
un affichage de la culture dans la danse et les incantations.
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