L’extrait du roman L’amour, la Fantasia d’auteur Algérien Assia Djebar raconte simultanément l’Histoire d’Alger et l’histoire de la narratrice quand elle était « un enfant au secret » (Djebar 12). Le personnage principal n’était pas nommé, mais la voix de c’est histoire est la narratrice au moment quand elle écrit l’ouvrage au 20ème siècle pour partager ses réminiscences d’enfance, ajouter de commentaires et faire des critiques à certains aspects de la société.
Les chroniques, comme Barchou de Penhoën, ont annoncé l’arrive des Français à Alger en 1830. La narratrice examine leurs descriptions, « la poésie terrible ainsi dévoilée », et elle attache des informations plus spécifiques sur l’impact du combattre à l’intérieure d’Alger, spécifiquement le rôle des femmes (28). La question posait par la narratrice, « Qui le dira, qui l’écrira ? », souligne sa nécessité de raconté des choses avec sa propre écriture (15). Autant, c’est un critique aux rapportes historiques qui étaient écrit en majorité par les hommes françaises.
L’auteur remplace la 3ème personne pour la 1ère personne et vice-versa. Ce joue, l’utilisation de différentes personnes, peut être frustrant pour les lecteurs, et considéré un élément négatif du texte ; mais malheureusement, sa produit un effet. La narratrice utilise « je » pour renforcer l’importance de sa propre vois. Les différents personnages, comme ses parentes et la famille Gendarme (spécialement Janine et Marie-Louise), sont introduit par la narratrice pour donner des descriptions complètes des évènements. Les filles Janine et Marie-Louise, par exemple, illustre le thème de la langue française versus l’arabe, les normes imposées sur les vêtements des filles, etc.
Je recommande ce roman a toutes les personnes qui sont intéressés en la culture et l’histoire Francophone. Les professeurs de Français devraient lire ce roman parce que les thèmes comme l’éducation, la langue, les rôles de genre, et plus sont explorer dans le contexte d’Alger.