La texte de Rachid Mimouni, La Colline Visitée, est plus qu’une bande dessiné; au lieu, cela pourrait être classifié comme une collections des vignettes poétiques indépendantes qui sont accompagnés par des images par Jacques Ferrandez pour rendre le lecteur même plus proche à la ville d’Alger, bien que l’imagerie et la personnification sont deux utiles qui accomplit cette but pendant les vingtaine des pages.
Mimouni décrit la ville d’Alger comme une fille, disant qu’elle est “la fille de la mer”, “le coeur et l’âme de la ville”, et qu’elle est “maligne… un labyrinthe méticuleux” (13). Quand l’auteur parle d’une ville comme fille, il insinu qu’elle est un corps capable de vivre indépendamment. La jeunesse d’être une “fille” symbolise comment la ville reste curieuse, et qu’il y a toujours une monde a decouvrir; l’Alger est une ville qui a des racines dans le passé, mais le futur est au horizon. Mimouni inclu des évènements fameux d’Alger dans cette texte, comme par mention de la Bataille d’Alger et Sindbad de 1001 Nuits Arabes. Ses mentionnés montrent que la ville est bien connu par le monde, mais il dit qu’Alger “ne souvient plus,” impliquant que la vie quotidien est plus importante que ce que les gens à l’extérieur pensent à être importante pour elle.
Mimouni comprend Alger comme un local, alors sa description est basé dans son temps passé dans la ville. Si vous aimez l’imagerie ou voudrez savoir plus au sujet de la ville d’Alger, lisez ce texte qui est si photographique qu’informatif.
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